17/08/2010
Graffiti
Toi tu n’étais finalement
Qu’un graffiti de plus
Dans ma vie raturée
Un graffiti orgueilleux
Aux contours bien marqués
Un graffiti quand même
Prêt à être effacé
Tu irais alors gratifier
quelqu’un d’autre
Dans un autre salon à ciel ouvert
Et tes barbouillages intempestifs
Feraient à nouveau sourire au début
Grincer par la suite
Et chavirer un autre édifice psychologique
Tiens je te biffe
Et t’oublie
10:57 Écrit par Saravati dans Dérives fictionnelles | Commentaires (9) | Tags : graffiti | Lien permanent
Commentaires
Écrit par : aléna | 17/08/2010
Répondre à ce commentaireÉcrit par : co errante | 17/08/2010
Répondre à ce commentaireÉcrit par : BT | 17/08/2010
Répondre à ce commentaireBelles images !
Écrit par : Virginie Holaind | 17/08/2010
Répondre à ce commentaire"La page « Les petits délires de Saravati » contient des donnés de type MIME « application/x-oleobject ». Comme vous ne possédez pas de module externe capable de gérer ce type MIME, ce contenu ne peut être affiché."
Écrit par : BT | 19/08/2010
Répondre à ce commentaireJe m'en occupe, j'espère qu'ils réagiront !
Écrit par : saravati | 19/08/2010
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Céline | 19/08/2010
Répondre à ce commentaireUn joli graffiti, alors et pas si graffiti que ça !
@ co errante
oui, les graffiti s'immiscent ...comme dirait B.T.
@ B.T
Les opérations portes ouvertes font à priori belle figure. Mais il y a souvent des courants d'air !
@ Céline
ça claque ...comme une porte de saloon, attention aux dents !
Écrit par : saravati | 21/08/2010
Répondre à ce commentaireÉcrit par : éric | 10/09/2010
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